contre le budget 2024, contre le SDRIF-E, manquant chacun des mêmes ambitions pour relever les défis environnementaux et sociaux ; ou contre l’acharnement de Valérie Pécresse à démanteler les politiques publiques menées en faveur des jeunes par les missions locales, les espaces d’insertion -EDI- et en supprimant Défi métiers. Nous avons d’ailleurs pu vérifier les effets négatifs de cette politique en rencontrant les acteurs de ces actions de formation et d’insertion, et notamment les responsables des missions locales, par des visites de terrain, très instructives.

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Avec notre administratrice à IDFM, nous nous sommes élevés contre toute hausse du passe Navigo et avons dénoncé le refus de la droite régionale comme gouvernementale de retenir nos propositions de nouveaux financements. Les solutions ne manquent pourtant pas : hausse du versement mobilité payé par les employeurs (en particulier à Paris et sur le secteur de La Défense), baisse de la TVA, éco-contribution sur le passage des poids lourds ou sur les entreprises de livraison (type Amazon), contribution additionnelle sur les plus-values autour des gares du Grand Paris Express… Les élu.es de notre groupe sont aussi allés sur le terrain, à la rencontre des acteurs et habitant.es pour débattre de méthanisation, de l’autisme, de problèmes dans les lycées…

Nous avons fait des propositions d’initiatives pour lutter contre les rixes entre jeunes, pour lutter contre les violences faites aux femmes, ou encore pour un meilleur usage des îles de loisirs.

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Nous allons poursuivre tous ces combats dans l’année qui commence et bien que Valérie Pécresse ait encore davantage bridé les modalités d’expression des oppositions, nous continuerons à porter une parole forte, pour faire entendre nos revendications dans votre intérêt.